Révélations : L'agence de renseignement israélienne a utilisé l'IA et des drones infiltrés pour préparer une attaque contre l'Iran
Lors d'une opération soigneusement planifiée, Israël a frappé l'Iran la semaine dernière avec une précision chirurgicale, ciblant des sites nucléaires et des hauts gradés militaires. Selon des sources, cette attaque a été rendue possible grâce à l'utilisation conjointe de l'intelligence artificielle (IA) et de drones introduits clandestinement en Iran. L'opération, baptisée "Lion Montant", a été menée par l'armée israélienne avec le soutien du Mossad, l'agence de renseignement israélienne. Les détails de cette attaque ont été révélés par dix responsables israéliens actuels et anciens, dont certains ont requis l'anonymat. L'ancienne directrice de la recherche du Mossad, Sima Shine, a confirmé les grandes lignes de l'opération, soulignant qu'elle était le fruit de plusieurs années de travail pour cibler le programme nucléaire iranien. Les autorités iraniennes ont été prises par surprise, car elles ne s'attendaient pas à une attaque pendant les négociations en cours sur leur programme nucléaire avec les États-Unis. Les forces israéliennes ont utilisé des drones armés introduits clandestinement en Iran pour neutraliser les défenses aériennes et les systèmes de missiles iraniens dès le début de l'attaque. Ces drones ont été positionnés à proximité des sites de missiles sol-air iraniens par des agents du Mossad, qui ont travaillé avec un réseau mixte de locaux et d'Israéliens. L'IA a joué un rôle clé dans l'analyse des données collectées, permettant aux Israéliens de sélectionner rapidement des cibles prioritaires. Les cibles comprenaient des généraux iraniens, des scientifiques nucléaires et des infrastructures clés associées à la Garde révolutionnaire iranienne. Parmi les victimes figuraient le général Hossein Salami, chef de la Garde révolutionnaire, et le général Mohammed Bagheri, chef d'état-major des forces armées iraniennes. L'attaque a également visé des véhicules utilisés pour transporter et lancer des missiles, une stratégie similaire à celle employée par l'Ukraine contre la Russie. Cette opération s'inscrit dans une longue série d'actions clandestines israéliennes contre le programme nucléaire iranien, notamment des cyberattaques et l'assassinat de scientifiques. En 2018, Israël avait déjà volé des archives contenant des milliers de pages de recherches nucléaires iraniennes. Le général Amir Avivi, à la retraite, a souligné que cette attaque était le résultat de plusieurs années de travail de renseignement en Iran. Malgré les démentis iraniens, les preuves suggèrent que l'opération a considérablement affaibli la capacité de riposte de l'Iran.