"Vous êtes pathétiques" : Dans Dune: Awakening, les joueurs utilisent des vers des sables pour éliminer leurs rivaux dans les zones PvE, prouvant une fois de plus qu'aucun endroit sur Arrakis n'est sûr
Dune: Awakening est théoriquement devenu plus sûr depuis que le PvP a été désactivé dans certaines parties du Désert Profond. Cependant, des joueurs malintentionnés ont trouvé un moyen – comme toujours – de retourner Arrakis contre les autres, même dans les zones réservées au PvE. Le Bassin de Hagga, zone de départ pour tous les joueurs, était censé être un endroit (relativement) sûr pour s'adapter à ce monde hostile. Mais cela ne semble plus être le cas.
Selon un joueur frustré sur le subreddit du jeu, des griefers envahissent désormais le Bassin de Hagga pour exploiter l'épice. Ils utilisent la même technique du marteau-sonneur et de l'ornithoptère qu'ils avaient perfectionnée dans le Désert Profond, mais cette fois pour monopoliser les ressources en PvE. Comme le rapporte Eurogamer, cette astuce consiste à atterrir avec son ornithoptère sur celui d'un autre joueur, puis à placer un marteau-sonneur pour invoquer Shai-Hulud, les vers des sables toujours affamés.
Bien que les véhicules ne puissent plus infliger de dégâts directs, ils peuvent bloquer d'autres véhicules, ce qui rend cette tactique efficace. Autrefois utilisée dans les zones PvP, elle est désormais monnaie courante dans le Bassin de Hagga. Un joueur a raconté avoir été poursuivi par quatre ornithoptères après avoir attendu une explosion d'épice pendant 30 minutes, qualifiant ses poursuivants de "pathétiques".
Cette méthode, bien que contraire à l'esprit du PvE, peut aussi servir à punir les joueurs égoïstes. Un exemple cité montre un joueur refusant de partager une récolte d'épice, ce qui a conduit un autre à invoquer un ver des sables pour le dévorer, sans aucun remords. Arrakis reste une planète impitoyable, même dans les zones supposées sûres.
En attendant, les joueurs peuvent explorer d'autres jeux de survie. L'auteur de l'article, Issy, est une journaliste freelance passionnée par les jeux narratifs et d'horreur, collaborant avec Rolling Stone, NME et bien d'autres.