Une guerre nucléaire pourrait-elle anéantir le Bitcoin ? Les prédictions glaçantes de l'IA pour la crypto en cas d'apocalypse
Le Bitcoin, souvent présenté comme une valeur refuge face aux crises, survivrait-il à une guerre nucléaire ? Une analyse basée sur l'IA révèle des scénarios catastrophiques pour le réseau et la valeur de la cryptomonnaie en cas de conflit atomique.
Selon les données de Polymarket, la probabilité qu'une bombe nucléaire soit utilisée en 2025 était estimée à 18%. Mais le véritable enjeu réside dans la capacité du réseau Bitcoin à résister à une telle catastrophe. L'IA prédit que le prix du BTC pourrait chuter de 10% à 80% selon l'ampleur du conflit, avec des conséquences dramatiques sur son infrastructure.
Le réseau Bitcoin repose actuellement sur 22 129 nœuds actifs répartis dans le monde. Les États-Unis en contrôlent 10,2%, l'Allemagne 5,8% et la France 2,6%. Près de 64% des nœuds restent non identifiés, probablement situés en Chine où les mineurs utilisent des VPN depuis l'interdiction du minage en 2021.
Dans un scénario de guerre limitée, comme le conflit actuel entre Israël et l'Iran, le Bitcoin pourrait maintenir son rôle de couverture, avec une baisse modérée de 10% à 30%. Cependant, une guerre régionale impliquant des armes nucléaires entraînerait la déconnexion de la majorité des nœuds, provoquant un crash de 30% à 60%.
Le pire scénario envisagé par ChatGPT est une guerre nucléaire mondiale. Avec seulement 1000 nœuds actifs, le réseau Bitcoin subirait une 'défaillance critique', son consensus disparaîtrait et sa valeur pourrait s'effondrer jusqu'à 80%. Dans ce cas extrême, les survivants se concentreraient sur les besoins essentiels, rendant la cryptomonnaie obsolète.
L'IA souligne cependant une lueur d'espoir : si des sauvegardes par satellite maintiennent suffisamment de nœuds actifs, le réseau pourrait survivre en attendant une reconnexion complète. Mais avec seulement 18% de risque nucléaire estimé pour 2025, cette hypothèse apocalyptique reste heureusement improbable pour l'instant.