10 Villes à Travers le Monde Que les Expatriés Ne Veulent Plus Jamais Revoir
Certaines des pires villes où vivre pour les expatriés, comme Kuala Lumpur et Istanbul, réservent des surprises en termes de défis quotidiens. Selon le dernier rapport d'Internations, ces villes présentent des difficultés majeures liées à la sécurité, aux soins de santé et à la qualité de vie globale. Le rapport classe 53 villes en fonction de cinq critères principaux : environnement et climat, soins de santé, sécurité, options de loisirs et transports. Les expatriés ont évalué chaque facteur sur une échelle de 1 à 7, avec des scores plus élevés indiquant une plus grande satisfaction. Voici un aperçu des villes les moins appréciées.
Budapest, autrefois considérée comme un joyau de l'Europe centrale, se classe désormais 44e en termes de qualité de vie. La capitale hongroise souffre d'un manque de développement économique et de soins de santé médiocres, se classant 51e dans ce domaine. Malgré cela, elle reste une destination touristique prisée.
New York, la ville qui ne dort jamais, se classe 9e parmi les pires villes pour les expatriés. Les loyers exorbitants, les problèmes de sécurité et les prix élevés des denrées alimentaires rendent la vie difficile. Cependant, ses options de loisirs, comme ses musées et parcs, sont classées 7e mondialement.
Toronto, la plus grande ville du Canada, se classe 46e en raison de ses routes congestionnées, de ses soins de santé insuffisants et de son taux de criminalité. Bien que ses espaces verts soient appréciés, le manque d'activités ludiques la place en bas du classement.
Rome, malgré son riche patrimoine culturel, se classe 47e en raison de transports publics lents et d'un taux de criminalité élevé. Les expatriés déplorent également les longues attentes pour les soins de santé et le manque d'efficacité des transports.
Kuala Lumpur, bien que populaire en Asie du Sud-Est, se classe 48e en raison de problèmes de sécurité et de pollution. Son système de transport moderne ne compense pas les inquiétudes liées aux accidents de la route et aux petits délits.
Vancouver, autre ville canadienne mal classée, occupe la 49e place. Les expatriés critiquent la qualité des soins de santé et les longs délais d'attente, ainsi que les problèmes de sécurité. Ses parcs naturels restent un point positif.
Milan, malgré son élégance et ses attractions culturelles, se classe 51e en raison de la pollution et de l'agitation politique. Ses restaurants et musées de renommée mondiale ne suffisent pas à compenser ces inconvénients.
Nairobi, la capitale kenyane, se classe dernière pour les transports en raison de ses routes congestionnées et de son système de transport public défaillant. Cependant, sa proximité avec des merveilles naturelles et sa scène culinaire en pleine croissance sont des atouts.
Istanbul, bien que touristique, se classe 50e en raison des craintes liées aux tremblements de terre et à l'instabilité politique. Son système de transport est jugé acceptable, mais les soins de santé sont sous-financés.
Dublin ferme la marche en se classant dernière pour les soins de santé et les transports. Malgré ses espaces verts et sa liberté d'expression, la capitale irlandaise peine à attirer les expatriés.