"Avons-nous tort ?" Nous avons 65 ans, 3,7 millions de dollars et deux maisons. Je suis déjà à la retraite, mon mari prend sa retraite cette année. Et maintenant ?
Un couple de 65 ans, avec 3,7 millions de dollars d'épargne et deux propriétés, s'interroge sur la nécessité de faire appel à un conseiller financier pour gérer leur retraite. La femme est déjà retraitée depuis quatre ans, et son mari prendra sa retraite cette année. Ils possèdent également un petit terrain où ils construisent actuellement un garage avec une chambre d'amis. Bien qu'ils aient toujours géré leurs investissements eux-mêmes, ils se demandent s'ils devraient engager un conseiller pour optimiser leur stratégie de retraite, notamment en matière de conversions Roth, de flux de trésorerie et de planification fiscale.
D'un côté, leur autonomie financière et leur aversion pour les frais de conseil les ont bien servis jusqu'à présent. Cependant, les experts soulignent que la gestion d'un portefeuille pendant la retraite est plus complexe, notamment pour assurer un revenu durable et minimiser les impôts. Un conseiller pourrait les aider à anticiper les RMD (distributions minimales requises), optimiser les conversions Roth et diversifier leurs investissements dans un contexte économique incertain.
Les frais des conseillers varient entre 1% des actifs sous gestion, des tarifs horaires (150-450$/h) ou des forfaits par projet (1 500-7 500$). Des outils comme SmartAsset, NAPFA ou le CFP Board peuvent les aider à trouver un conseiller fiduciaire. En fin de compte, la décision dépend de leur volonté de déléguer la gestion et de maximiser leur sécurité financière à long terme.