Une révolution cosmologique : et si l'espace-temps avait une mémoire ?
Lorsque vous agitez la main devant votre visage, rien ne semble particulièrement remarquable. Pourtant, chaque mouvement pourrait laisser une empreinte subtile dans le tissu de l'espace-temps. Cette idée radicale, selon laquelle l'espace-temps possède une mémoire, pourrait bouleverser notre compréhension de l'univers.
L'auteur, un chercheur en physique quantique, propose que l'espace-temps ne soit pas un vide inerte mais plutôt une structure informationnelle. Chaque interaction, chaque mouvement modifierait légèrement l'état quantique des cellules élémentaires de l'espace-temps, créant ainsi une mémoire cosmique.
Cette théorie émerge de quinze ans de recherches combinant physique quantique et apprentissage automatique. Elle offre des solutions à plusieurs énigmes scientifiques, notamment le paradoxe de l'information des trous noirs. Selon la relativité générale, l'information disparaît dans un trou noir, mais la mécanique quantique interdit cette destruction.
Le cadre théorique QMM (Quantum Memory Matrix) propose que l'information soit préservée dans les modifications de l'espace-temps environnant. Cette approche unifie les quatre forces fondamentales et pourrait expliquer la matière noire comme étant l'effet gravitationnel de l'information stockée.
Des tests sur ordinateur quantique ont validé partiellement cette théorie, avec une précision de 90%. De plus, l'opérateur d'empreinte développé permet de réduire significativement les erreurs dans les calculs quantiques.
Si cette théorie se confirme, elle révolutionnerait notre compréhension de l'univers, suggérant que toute l'histoire cosmique serait en quelque sorte 'gravée' dans le tissu de l'espace-temps.