Notre univers pourrait exister à l'intérieur d'un trou noir en rotation, révèle le télescope JWST
Le télescope spatial James Webb (JWST) a révélé des motifs de rotation galactique inattendus, relançant une théorie audacieuse selon laquelle notre univers pourrait se trouver à l'intérieur d'un trou noir en rotation. Lancé en 2022, le JWST continue de transformer notre vision du cosmos en découvrant des secrets célestes qui défient les modèles scientifiques établis. Ses images avancées ont capturé des galaxies anciennes formées seulement quelques centaines de millions d'années après le Big Bang, bien plus tôt que prévu.
L'une de ces galaxies, nommée JADES-GS-z14-0, semble s'être formée seulement 250 millions d'années après la naissance de l'univers. Ces découvertes remettent en question les théories sur l'évolution des galaxies, d'autant plus que nombre d'entre elles présentent des structures spirales censées apparaître bien plus tard. Ces anomalies ont suscité des débats parmi les cosmologistes du monde entier.
Une étude récente dirigée par Lior Shamir de l'Université d'État du Kansas a révélé un déséquilibre surprenant dans la rotation des galaxies. Sur 263 galaxies observées, environ deux tiers tournaient dans le sens horaire, contre seulement un tiers dans le sens antihoraire. Cette asymétrie contredit l'hypothèse d'un univers isotrope et aléatoire, suggérant une influence à grande échelle.
Deux théories émergent pour expliquer ce phénomène. La première propose que l'univers entier serait né en rotation, une idée liée à la cosmologie des trous noirs. Selon cette théorie, notre univers pourrait résider dans un trou noir en rotation appartenant à un univers parent. Le physicien théorique Nikodem Poplawski soutient que les trous noirs pourraient être des portails vers de nouveaux univers, où la matière rebondit et se dilate comme lors du Big Bang.
Si cette théorie s'avère exacte, l'axe de rotation du trou noir parent pourrait expliquer la préférence directionnelle observée dans les galaxies. Ces découvertes, combinées aux données antérieures des télescopes terrestres, ouvrent de nouvelles perspectives sur la nature même de notre existence cosmique.