Suis-je le trou de balle de refuser d'expulser mon frère adolescent pour que ma copine emménage ?
Un jeune homme de 22 ans se retrouve confronté à un dilemme familial et amoureux. Depuis plus de deux ans, il prend soin de son frère cadet de 17 ans après le décès de leurs parents. Son petit frère, encore lycéen, cumule les petits boulots pour subvenir à ses besoins et épargner pour l'avenir. Récemment, sa petite amie d'un an a exprimé son désir d'emménager avec lui, mais à une condition inacceptable : qu'il demande à son frère de quitter le domicile. Elle refuse également de participer aux dépenses du foyer, qualifiant même l'adolescent de "profiteur". Cette situation a provoqué une vive réaction de la part de l'aîné, qui envisage désormais de rompre. La communauté en ligne lui donne massivement raison, pointant l'égoïsme et l'immaturité de sa compagne.
Le narrateur, devenu tuteur légal de son frère après le décès de leurs parents, décrit une situation familiale difficile. Ses deux parents sont décédés successivement après avoir souffert de graves problèmes de santé. Son frère a dû changer de lycée pour se rapprocher de son nouveau domicile. Malgré son jeune âge, l'adolescent montre une maturité exceptionnelle en travaillant deux jobs à temps partiel pendant l'année scolaire et à plein temps l'été.
La relation avec sa petite amie prend un tournant critique lorsqu'elle propose ses conditions pour emménager ensemble. Non seulement elle refuse catégoriquement de participer aux frais du ménage, mais elle exige en plus que le frère cadet quitte les lieux. Son argument principal ? Elle estime que sa présence devrait suffire au bonheur de son compagnon et que les considérations financières n'ont pas leur place dans une relation amoureuse.
Les internautes réagissent avec véhémence à cette histoire. Ils qualifient la petite amie d'"hypocrite", de "profiteuse" et même de "monstre égocentrique". Beaucoup encouragent le jeune homme à mettre fin à cette relation toxique, soulignant le contraste entre l'attitude responsable du frère cadet et les exigences déraisonnables de la compagne. Le consensus est clair : protéger son frère vulnérable est non seulement une obligation légale mais surtout un impératif moral.
