Rejeter l'Obligation d'Équipage Ferroviaire et Embrasser la Dérégulation : Un Choix Économique et Innovant
L'administration Trump a engagé une action en justice ce mois-ci pour contester une règle controversée de l'ère Biden imposant un minimum de deux membres d'équipage sur la plupart des trains de marchandises. Cette réglementation, émise par l'Administration fédérale des chemins de fer (FRA) sous le président Biden, illustre comment les syndicats et l'ingérence politique ont corrompu une agence censée être guidée par des données. Le président Trump mène fièrement l'une des plus grandes campagnes de dérégulation de l'histoire moderne. Rejeter cette règle renforcerait cet héritage en réduisant la bureaucratie, en stimulant l'innovation et en protégeant une industrie vitale pour l'économie américaine.
La règle sur la taille des équipages de Biden n'a rien à voir avec la sécurité. L'administration Biden a cité le déraillement de 2023 à East Palestine, Ohio, comme justification, bien que ce train ait déjà trois membres d'équipage—plus que le minimum proposé. La FRA elle-même a admis ne pas pouvoir quantifier les bénéfices en matière de sécurité. Des décennies de preuves, y compris une baisse des accidents ferroviaires depuis la dérégulation en 1980, montrent que la technologie et les investissements—pas les obligations d'équipage—ont amélioré la sécurité.
Cette règle sert un seul but : apaiser les syndicats comme l'International Association of Sheet Metal, Air, Railroad & Transportation Workers—Transportation Division (SMART-TD), qui a soutenu Kamala Harris et consacré 99% de ses dépenses politiques aux démocrates et aux causes progressistes. Entre 2019 et 2022, SMART a dirigé près de 80 millions de dollars vers des groupes d'intérêt spéciaux, dont le Parti démocrate californien et des organisations environnementales d'extrême gauche. Moins de 1% de ces fonds sont allés à des efforts bipartisans ou républicains.
En rejetant cette règle, l'administration Trump peut défendre les travailleurs ferroviaires et l'économie américaine, tout en résistant aux dirigeants syndicaux qui privilégient les agendas politiques au détriment de l'innovation et de la sécurité. L'ancien économiste de la FRA, Patrick McLaughlin, a averti que cette réglementation excessive étouffe l'innovation, augmente les coûts et nuit aux communautés défavorisées. Ses recherches, soutenues par des dizaines de commentaires officiels, affirment que la règle compromet la santé financière des chemins de fer et décourage l'adoption de technologies réduisant les risques.
Une coalition d'experts a exhorté le DOT à abandonner cette règle le mois dernier, soulignant que les régulations basées sur les performances fonctionnent, contrairement aux mandats politiques rigides. Insister sur des modèles de personnel obsolètes pousse le fret vers les camions, aggravant la pollution et les accidents. Cette règle, soutenue par les syndicats, sape les accords volontaires entre employeurs et employés, qui gèrent déjà les effectifs de manière flexible.
Le président Trump a toujours soutenu les travailleurs et les industries clés. En rejetant cette règle, il peut promouvoir l'innovation et une véritable sécurité, tout en s'opposant aux syndicats qui placent la politique au-dessus du progrès. Cette règle ne protège pas les travailleurs—elle protège une machine politique dépensant des millions contre la prospérité. Trump a raison de l'arrêter une fois. Maintenant, il doit rétablir l'équité dans la politique ferroviaire et recentrer le gouvernement sur les résultats, pas les intérêts particuliers. Il est temps de moderniser, de couper le superflu et de laisser les chemins de fer concourir, pour une Amérique plus forte.