Chère Annie : Amies depuis 50 ans, mais son alcoolisme me pousse à m'éloigner
Annie Lane rédige la chronique de conseils Dear Annie. Une lectrice du Kansas, âgée de 54 ans, écrit à Annie pour exprimer sa détresse face à l'alcoolisme croissant de sa meilleure amie, une amitié qui dure depuis leur entrée en maternelle. Bien qu'elles aient maintenu leur lien pendant des décennies, les récents comportements de son amie, aggravés par le décès de sa mère, rendent leurs interactions de plus en plus difficiles.
Lors de leurs sorties récentes, notamment des concerts et des spectacles d'humour, l'amie devient belliqueuse sous l'effet de l'alcool. La lectrice, reconnaissante que son amie paie les billets, ne supporte plus ces situations. Un incident récent, où son amie a évoqué de manière inappropriée une aide financière, l'a particulièrement perturbée.
Annie suggère d'aborder le sujet de l'alcoolisme avec son amie lorsqu'elle est sobre, en exprimant son inquiétude. Elle conseille également de modifier leurs activités pour éviter les occasions de boire, privilégiant des rencontres diurnes comme des déjeuners. Annie souligne que cette amitié précieuse peut survivre à ces épreuves, mais que des limites claires sont nécessaires.