La manipulation autoritaire du langage par Trump : Quand les mots deviennent des armes politiques
Le paradoxe viennois : Entre succès urbain et bouc émissaire de l'extrême-droite. Lee Hockstader du Washington Post décrit Vienne comme une "success story enviable", mais souligne que la ville est devenue le symbole des forces anti-migrants qui la présentent comme une paria polyglotte. Cette stratégie d'opposition aux villes multiculturelles, bien que courante dans le jeu populiste, contraste avec les réels dysfonctionnements des métropoles américaines. Vienne, dont les problèmes sont mineurs en comparaison, voit pourtant son projet d'intégration freiné par les obstacles autrichiens à la naturalisation.
La renaissance des cryptos appelle à une régulation bancaire. Le comité éditorial de Bloomberg alerte sur l'envolée des prix des actifs numériques et les projets législatifs pro-industrie. Ils recommandent des ajustements prudents avant que le système bancaire traditionnel ne s'emmêle trop avec l'économie basée sur la blockchain, rappelant que les risques de ce secteur chaotique ne doivent pas être sous-estimés.
La manipulation autoritaire du langage par Trump. Renée Graham du Boston Globe analyse comment l'usage désinvolte de vulgarités par Donald Trump s'est normalisé, reflétant une décennie de subversion linguistique caractéristique de l'autoritarisme. Ses jurons publics, sans excuses ni conséquences, brisent délibérément les convenances présidentielles traditionnelles, marquant comment l'autoritarisme corrompt jusqu'au langage.
La seule issue pour Israël et l'Iran. Hillel Schenker du The Nation argue qu'un accord négocié avec des inspections vérifiables et un arrêt des menaces mutuelles est la seule solution pour empêcher l'Iran de se nucléariser. Sans cela, le pays pourrait suivre l'exemple nord-coréen et accélérer vers l'arme atomique, aggravant les tensions régionales.
Actualités brèves : Un responsable israélien confirme que l'Iran possède encore de l'uranium enrichi, tandis que Trump menace le Canada de tarifs douaniers de 35%, accusant le Premier ministre Mark Carney de laxisme face au trafic de fentanyl. La question d'une possible prise de contrôle fédérale des villes américaines comme New York et Washington par Trump suscite également des débats.